Répondre à une accusation
Il existe de nombreux moyens de répondre à une
accusation. Tout dépend de la situation dans laquelle on se trouve, et des
interlocuteurs.
On peut cependant retenir quelques moyens,
selon que l’on désire :
Nier une accusation :
— Ce n’est pas vrai du tout ! C’est (absolument) faux !
— Je nie absolument les faits. Je suis innocent. Je suis hors de cause. Je suis accusé à tort, faussement, injustement.
— Je (te) vous jure que ce n’est pas vrai ! je démens, je conteste, je proteste
— Moi, faire une chose pareille ? Jamais ! Ce n’est pas possible, je vous le jure.
— Non, mais ça va pas ! (fam.)
Accepter l’accusation puis l’atténuer à l’aide d’arguments ou en faisant appel à des sentiments :
— D’accord, je l’ai fait mais… Bien sûr, j’ai fait ceci, mais je ne comprends pas ce qui vous choque.
— Je ne vois pas où est le mal.
— Ce n’est pas ma faute, c’est.
— Cela se pratique couramment. De plus… Et puis…
— Si vous saviez comme je l’ai regretté !
— C’est excusable, c’est pardonnable. Il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Faute avouée est à demi pardonnée.
Retourner l’accusation contre l’interlocuteur :
— Vous le faites bien, vous !
— Mais, vous avez parfois donné l’exemple !
— Commencez donc par balayer devant
votre porte ! (langage familier)
Nier une accusation :
— Ce n’est pas vrai du tout ! C’est (absolument) faux !
— Je nie absolument les faits. Je suis innocent. Je suis hors de cause. Je suis accusé à tort, faussement, injustement.
— Je (te) vous jure que ce n’est pas vrai ! je démens, je conteste, je proteste
— Moi, faire une chose pareille ? Jamais ! Ce n’est pas possible, je vous le jure.
— Non, mais ça va pas ! (fam.)
Accepter l’accusation puis l’atténuer à l’aide d’arguments ou en faisant appel à des sentiments :
— D’accord, je l’ai fait mais… Bien sûr, j’ai fait ceci, mais je ne comprends pas ce qui vous choque.
— Je ne vois pas où est le mal.
— Ce n’est pas ma faute, c’est.
— Cela se pratique couramment. De plus… Et puis…
— Si vous saviez comme je l’ai regretté !
— C’est excusable, c’est pardonnable. Il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Faute avouée est à demi pardonnée.
Retourner l’accusation contre l’interlocuteur :
— Vous le faites bien, vous !
— Mais, vous avez parfois donné l’exemple !
— Commencez donc par balayer devant
votre porte ! (langage familier)
Exercice. Lire la conversation et répondre les questions suivant.
— Monsieur, vous rouliez à 78 km/h en ville. La limite est de 50 km/h.
— Comment ? Mais ce n’est pas possible ! Il doit y avoir une erreur…
— Si, c’est certain. On vous a contrôlé au radar.
— Ce n’est pas ma faute. Il faut que j’aille chercher ma belle-mère à l’hôpital. Je ne vois pas où est le mal.
— Garez-vous là. Vous allez subir un alcootest.
— Entendu. Je regrette vraiment. Mais faute avouée est à demi pardonnée…
Questions
1. Quel est le personnage dominant ? Le personnage dominé ?
2. Quel reproche est formulé ?
3. Quelle excuse l’automobiliste invoque-t-il ?
4. Comment se défend-il ? Quelles formules emploie-t-il ?
1. Quel est le personnage dominant ? Le personnage dominé ?
2. Quel reproche est formulé ?
3. Quelle excuse l’automobiliste invoque-t-il ?
4. Comment se défend-il ? Quelles formules emploie-t-il ?
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